Lors du dernier conseil municipal, le festival de Carcassonne version 2012 a été dévoilé, même si la plupart des spectacles était déjà connue par voie de presse.
A nouveau un festival long de plus de six semaines alors que tous les grands festivals français ne dépassent pas trois semaines. Mais sa longueur génère plusieurs inconvénients, le premier étant celui du coût. A ce jour les chiffres excats des deux derniers festivals n'ont toujours pas été communiqués. Le groupe opposition du conseil municipal s'est inquiété du nombre de billets vendus en 2011auprès du receveur municipal. Ce dernier n'a pas souhaité répondre en raison de son devoir de réserve, et a renvoyé le groupe d'opposition vers les élus en charge du dossier qui n'ont toujours pas souhaité donner suite à cette requête pourtant bien légitime. On sait très bien qu'un festival de cette ampleur ne génère pas de bénéfice, par contre nous aimerions connaître son coût excat au regard de la transparence que doit afficher toute municipalité.
Sa longueur pose un autre problème, celui de la gestion du personnel municipal. Effectivement pendant toute la durée du festival, le personnel va être sollicité et ne pourra pas effectuer son travail quotidien. Si on ajoute à cela les temps de récupération mérités, il ne faut pas s'étonner que la propreté de la ville en souffre.Pour cela il suffit de se rappeller l'état lamentable de propreté dans lequel se sont trouvées les rues de la ville lors de la dernière période estivale et automnale.
Sur l'affiche on peut constater que le théatre quitte enfin les lices pour retrouver le château comtal. Le cirque y trouve cette année une place restreinte et le jazz est le grand oublié de la version 2012.
samedi 11 février 2012
Visite du chantier des écoles d'art
Gérard Larrat ancien président et Jean-Luc Roux ancien premier vice président de la Communauté d'Agglomération du Carcassonnais.
Cela fait chaud au coeur de voir la réalisation des Ecoles d'Art que nous avons conçues et décidées.
L'acquisition du Domaine de Prat Mary est une remarquable initiative à mettre à l'actif de l'ancienne municipalité.
La future maison de retraite prend forme elle aussi....
Il est dommage et regrettable que la nouvelle majorité de la Communauté d'Agglomération n'ait rien prévu en remplacement de la médiathèque transférée vers le centre ville.
Nous avons l'impression aujourd'hui que Carcassonne Agglomération manque d'audace et d'ambition pour son territoire.
dimanche 9 octobre 2011
Comment faire des économies!
A l'heure où la ville de Carcassonne prépare un budget de rigueur pour 2012, l'adjoint chargé des finances communique en annonçant "pas d'augmentation de l'imposition". Je réponds heureusement! Après avoir supprimé tous les abattements à la base de la taxe d'habitation, après avoir supprimé l'exonération du foncier sur les deux premières années pour les accédants à la propriété, il n'aurait plus manqué que cela! Les Carcassonnais mesureront en automne 2012 sur leur avis d'imposition de taxe d'habitation la portée de cette mesure. En deux ans il devront s'acquitter en moyenne d'une augmentation de 75 € à laquelle viendra s'ajouter l'augmentation habituelle des bases d'imposition.
Aussi, pour réaliser des économies dans le fonctionnement d'une collectivité existe la possibilité de nommer un contrôleur de gestion. Cette solution avait été amorcée par la précédente majorité, mais n'avait pas été menée à son terme.
Un contrôleur de gestion a pour mission de passer dans tous les services de la municipalité et après une période d'observation, a pour mission de proposer des simplifications ou une rationalisation des moyens pour permettre de réaliser des économies dans le fonctionnement des services.
Par ailleurs pourquoi avoir toujours recours systématiquement à l'emprunt. Il existe aujourd'hui de nouvelles possibilités de financement de l'investissement. A titre d'exemple je citerai le "lease back", le partenariat public privé etc....Mais pour cela faut-il qu'il y ait de l'investissement.
La mairie a réalisé une cagnotte de près de 300 000 € par la reprise en régie du camping municipal c'est une bonne nouvelle. J'espère que cette cagnotte ne viendra pas en aide à Monsieur Tarlier qui a trompé tout le conseil communautaire en lui proposant la construction d'une aire de grand passage pour les gens du voyage sur une parcelle inondable dont le coût de l'opération se traduit aujourd'hui par une somme de 500 000 € partie en fumée.
Aussi, pour réaliser des économies dans le fonctionnement d'une collectivité existe la possibilité de nommer un contrôleur de gestion. Cette solution avait été amorcée par la précédente majorité, mais n'avait pas été menée à son terme.
Un contrôleur de gestion a pour mission de passer dans tous les services de la municipalité et après une période d'observation, a pour mission de proposer des simplifications ou une rationalisation des moyens pour permettre de réaliser des économies dans le fonctionnement des services.
Par ailleurs pourquoi avoir toujours recours systématiquement à l'emprunt. Il existe aujourd'hui de nouvelles possibilités de financement de l'investissement. A titre d'exemple je citerai le "lease back", le partenariat public privé etc....Mais pour cela faut-il qu'il y ait de l'investissement.
La mairie a réalisé une cagnotte de près de 300 000 € par la reprise en régie du camping municipal c'est une bonne nouvelle. J'espère que cette cagnotte ne viendra pas en aide à Monsieur Tarlier qui a trompé tout le conseil communautaire en lui proposant la construction d'une aire de grand passage pour les gens du voyage sur une parcelle inondable dont le coût de l'opération se traduit aujourd'hui par une somme de 500 000 € partie en fumée.
La réforme de l'intercommunalité une chance à saisir!
La communauté d'agglomération de Carcassonne vient de souffler en septembre les bougies de ses 10 ans d'existence. Aujourd'hui un projet de réforme de l'intercommunalité est en place pour permettre de regrouper sur un territoire plus pertinent des communautés de communes qui ont fleuri au cours des années passées. C'est une chance pour Carcassonne Agglomération de pouvoir englober toutes ces collectivités dont la population est attirée par l'attrait économique de Carcassonne et de pouvoir ainsi faire réaliser des économies d'échelle sur les dépenses de fonctionnement que supporte le contribuable.
Il faut savoir que la France détient le record mondial de collectivités locales: 27 régions, 101 départements, 2 400 communautés de communes, 16 communautés urbaines, 174 communautés d'agglomérations plus 36 000 communes. Nous avons un empilement de collectivités locales avec des compétences enchevêtrées. Le rapport Attali (proche de la famille socialiste) avait suggéré la suppression des départements et de regrouper la commune au niveau de la communauté urbaine ou du canton. Par ce biais ce sont des millions d'euros que nous aurions économisés.
Aujourd'hui le nombre de fonctionnaires territoriaux ne cesse de croître au sein de ces communautés de communes. Le coût engendré pour les contribuables que nous sommes, par le paiement des salaires des fonctionnaires ajouté au paiement des nombreuses indemnités distribuées aux élus, est énorme.
Qui osera prendre un jour les mesures de regroupement de collectivités préconisées par le rapport Attali et affronter les 500 000 élus français accrochés à leur parcelle de pouvoir? Aujourd'hui, même le Premier Ministre repousse la date butoir pour adopter la nouvelle carte de l'intercommunalité. Sur le plan local, le Conseil Général fait tout ce qu'il peut pour mobiliser les élus contre le projet de réforme de l'intercommunalité. Loin de la réalité économique et des défis sociaux qui nous attendent ces élus préfèrent raisonner à l'échelle de leur parcelle de pouvoir qu'ils ne souhaitent abandonner sous aucun prétexte. Comment, si nous restons recroquevillé sur nous même en se regardant le nombril, allons nous exister demain à l'échelle de l'Europe et du monde qui nous entoure?
Georges Frêche plaidait pour des régions et des communautés d'agglomération plus importantes que celles que nous connaissons aujourd'hui. En attendant, nos élus départementaux l'ont oublié et font la sourde oreille trop préoccupés à vouloir conserver leur fief et leurs prébendes.
Par contre nous sommes en automne et les feuilles d'impôts locaux qui tombent, pèsent de plus en plus sur le porte monnaie du contribuable mais les élus eux semblent l'ignorer.
Il faut savoir que la France détient le record mondial de collectivités locales: 27 régions, 101 départements, 2 400 communautés de communes, 16 communautés urbaines, 174 communautés d'agglomérations plus 36 000 communes. Nous avons un empilement de collectivités locales avec des compétences enchevêtrées. Le rapport Attali (proche de la famille socialiste) avait suggéré la suppression des départements et de regrouper la commune au niveau de la communauté urbaine ou du canton. Par ce biais ce sont des millions d'euros que nous aurions économisés.
Aujourd'hui le nombre de fonctionnaires territoriaux ne cesse de croître au sein de ces communautés de communes. Le coût engendré pour les contribuables que nous sommes, par le paiement des salaires des fonctionnaires ajouté au paiement des nombreuses indemnités distribuées aux élus, est énorme.
Qui osera prendre un jour les mesures de regroupement de collectivités préconisées par le rapport Attali et affronter les 500 000 élus français accrochés à leur parcelle de pouvoir? Aujourd'hui, même le Premier Ministre repousse la date butoir pour adopter la nouvelle carte de l'intercommunalité. Sur le plan local, le Conseil Général fait tout ce qu'il peut pour mobiliser les élus contre le projet de réforme de l'intercommunalité. Loin de la réalité économique et des défis sociaux qui nous attendent ces élus préfèrent raisonner à l'échelle de leur parcelle de pouvoir qu'ils ne souhaitent abandonner sous aucun prétexte. Comment, si nous restons recroquevillé sur nous même en se regardant le nombril, allons nous exister demain à l'échelle de l'Europe et du monde qui nous entoure?
Georges Frêche plaidait pour des régions et des communautés d'agglomération plus importantes que celles que nous connaissons aujourd'hui. En attendant, nos élus départementaux l'ont oublié et font la sourde oreille trop préoccupés à vouloir conserver leur fief et leurs prébendes.
Par contre nous sommes en automne et les feuilles d'impôts locaux qui tombent, pèsent de plus en plus sur le porte monnaie du contribuable mais les élus eux semblent l'ignorer.
jeudi 22 septembre 2011
La Dépêche du Midi -22 septembre 2011- Carcassonne. Jean-Luc Roux plaide pour des rues piétonnes... et propres
Jean-Luc Roux./ Photo DDM, R. Garcia
« Un élu d'opposition ne doit pas seulement s'opposer mais aussi proposer ». Sur la base de ce credo, Jean-Luc Roux, élu UMP au conseil municipal de Carcassonne et à la communauté d'agglomération, réactive son blog (jeanlucroux.blogspot.com) pour faire valoir son devoir de différence.
« Je fais deux constats, se plaint l'élu d'opposition. La saleté des rues de la ville et la régression culturelle ».
Sur ce dernier point, il se contente de noter que le musée municipal est passé de la 75e à la 104e place sur le plan national et de déplorer le regrettable incident qui a vu des centaines de livres être jetés à la benne lors du déménagement de la bibliothèque. Mais son « indignation » porte surtout sur l'état des rues « jonchées de mégots, de papiers, de bouteilles. Pendant l'été, trop de gens sont mobilisés pour une période festive trop longue. Il manque des gens pour nettoyer les rues. Je propose la création d'une brigade spécialisée dans le nettoyage de 12 personnes. Par ailleurs, il n'y a pas assez de poubelles dans les rues du centre. »
Des rues propres, mais aussi piétonnes, c'est l'autre proposition de Jan-Luc Roux, qui souhaite voir revenir à l'ordre du jour la piétonnisation du centre ville. Un programme accompagné d'une heure de stationnement gratuit autour du Dôme. Dossier en cours.
L'Indépendant-21 septembre 2011- Ville, agglo : J.-L. Roux s'oppose et propose
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POLITIQUE
Evidemment, il s'expose à un rapide retour de bâton : lorsqu'on a été aux affaires et que l'on prétend résoudre des problèmes, il est normal de s'entendre dire "Que ne l'avez-vous fait de votre temps ?"… Jean-Luc Roux, UMP, conseiller municipal et conseiller d'agglo d'opposition, semble n'en avoir cure. "La situation était différente lorsque nous étions aux commandes de la ville, rétorque-t-il. Et puis, ce n'est pas parce que nous ne l'avons pas fait qu'il ne faut pas le faire…".
Prenez la propreté de la ville, par exemple, nouveau cheval de bataille des élus d'opposition en général et de Jean-Luc Roux en particulier. Il dit avoir eu "honte" cet été en remarquant "les rues jonchées de mégots, de bouteilles, de feuilles". La faute selon lui "à l'organisation des services municipaux qui font que trop d'agents sont employés aux festivités durant trois mois d'été, et que, du coup, les autres missions sont négligées". La solution ? "Créer une brigade de 12 personnes exclusivement affectées aux festivités, toute l'année", et pour ce faire, "pourquoi pas embaucher, si c'est nécessaire". Autre initiative : l'installation de poubelles publiques. "Il n'y en a aucune sur le parcours entre le centre-ville et le début de la rue Trivalle", peste M. Roux.
La piétonnisation du centre est un autre de ses sujets favoris. Il préconise une extension (rues de Verdun, Armagnac, Tomey, Victor-Hugo) qu'il souhaite voir soumise à référendum, et demande une heure de stationnement gratuit au parking du Dôme.
Un microcrédit pour les plus démunis
Enfin, sur l'agglo, il préconise son extension géographique sur le territoire du Pays Carcassonnais - une proposition qui ne devrait pas poser de problème puisqu'elle est partagée par la majorité- ainsi que la création d'un microcrédit "pour les personnes les plus en difficulté et qui ont absolument besoin, par exemple, d'acheter un scooter ou de passer le permis pour aller travailler". Cette revendication, éminemment sociale, trouvera-t-elle un écho ? Réponse au prochain conseil d'agglomération.
Laurent Rouquette.
vendredi 16 septembre 2011
Carcassonne: La saleté des rues de la ville et les solutions pour y remédier
La propreté de nos rues et l'arrosage des gazons des espaces publics sont actuellement trop souvent laissés à l'abandon. Ce fut le cas particulièrement pendant cette période estivale.
Quelle image notre ville a donné cet été aux milliers de touristes venus visiter notre ville, si ce n'est d'avoir découvert nos rues jonchées de détritus, mégots, papiers, bouteilles...
Le manque d'effectif des employés communaux affectés au parc et aux espaces verts a cruellement fait défaut durant ces derniers mois.
Il est vrai que les festivités de la ville de Carcassonne étalées sur pratiquement 3 mois avec la féria ont occupé un certain nombre de nos employés communaux pour monter, démonter scènes et chapitaux, mises en place de barrières...Ces employés ne peuvent être au "four et au moulin", sans compter les congés d'été auxquels ils peuvent prétendre à juste titre. Le résultat ne s'est pas fait attendre et la propreté de nos rues en a beaucoup souffert
Pour éviter cette désorganisation, le premier remède est de créer une brigade d'employés communaux (une douzaine) spécialement affectée au pôle culturel, spécialisée dans les travaux engendrés par les festivités: festivals,féria, fête du vin, maggie de Noêl. En période creuse, il pourront aller renforcer les équipes du parc et des espaces verts. Cette solution permettrait au personnel du parc et des espaces verts d'effectuer pleinement leur mission de servive public et d'améliorer grandement la propreté de nos rues et l'entretien de nos espaces verts.
Le second remède, pour lutter contre la saleté de nos rues, constatée depuis la mise en place de la nouvelle municipalité, en raison de directives contradictoires données aux employés municipaux par les élus, c'est tout simplement d'installer des poubelles à chaque coin de rue ou tous les 50 mètres.
Pour se rendre compte de cette carence, il suffit d'effectuer à pieds le trajet de la mairie rue Aimé Ramond à la Porte Narbonnaise de la Cité. Sur ce trajet le nombre de poubelles peut se compter sur les doigts d'une seule main..De la mairie au Square Gambetta par la rue Aimé Rmond vous ne trouverez aucune poubelle, vous n'en trouverez pas non plus rue du Pont Vieux ni avant, sur et après le Pont Vieux. Vous devrez avoir emprunter la rue Trivalle pour apercevoir la première poubelle. Toutes ces rues y compris la Place Gaston Jourdanne (où les poubelles font aussi défaut) ont donné un spectacle dégradant de notre ville aux touristes mais aussi surtout et avant tout aux Carcassonnais qui y résident.
Je ne parlerai pas des herbes folles qui envahissent nos trottoirs de la périphérie de la ville, le désherbage a semble -t-il été confié à une société privée par la nouvelle majorité municipale....
Quelle image notre ville a donné cet été aux milliers de touristes venus visiter notre ville, si ce n'est d'avoir découvert nos rues jonchées de détritus, mégots, papiers, bouteilles...
Le manque d'effectif des employés communaux affectés au parc et aux espaces verts a cruellement fait défaut durant ces derniers mois.
Il est vrai que les festivités de la ville de Carcassonne étalées sur pratiquement 3 mois avec la féria ont occupé un certain nombre de nos employés communaux pour monter, démonter scènes et chapitaux, mises en place de barrières...Ces employés ne peuvent être au "four et au moulin", sans compter les congés d'été auxquels ils peuvent prétendre à juste titre. Le résultat ne s'est pas fait attendre et la propreté de nos rues en a beaucoup souffert
Pour éviter cette désorganisation, le premier remède est de créer une brigade d'employés communaux (une douzaine) spécialement affectée au pôle culturel, spécialisée dans les travaux engendrés par les festivités: festivals,féria, fête du vin, maggie de Noêl. En période creuse, il pourront aller renforcer les équipes du parc et des espaces verts. Cette solution permettrait au personnel du parc et des espaces verts d'effectuer pleinement leur mission de servive public et d'améliorer grandement la propreté de nos rues et l'entretien de nos espaces verts.
Le second remède, pour lutter contre la saleté de nos rues, constatée depuis la mise en place de la nouvelle municipalité, en raison de directives contradictoires données aux employés municipaux par les élus, c'est tout simplement d'installer des poubelles à chaque coin de rue ou tous les 50 mètres.
Pour se rendre compte de cette carence, il suffit d'effectuer à pieds le trajet de la mairie rue Aimé Ramond à la Porte Narbonnaise de la Cité. Sur ce trajet le nombre de poubelles peut se compter sur les doigts d'une seule main..De la mairie au Square Gambetta par la rue Aimé Rmond vous ne trouverez aucune poubelle, vous n'en trouverez pas non plus rue du Pont Vieux ni avant, sur et après le Pont Vieux. Vous devrez avoir emprunter la rue Trivalle pour apercevoir la première poubelle. Toutes ces rues y compris la Place Gaston Jourdanne (où les poubelles font aussi défaut) ont donné un spectacle dégradant de notre ville aux touristes mais aussi surtout et avant tout aux Carcassonnais qui y résident.
Je ne parlerai pas des herbes folles qui envahissent nos trottoirs de la périphérie de la ville, le désherbage a semble -t-il été confié à une société privée par la nouvelle majorité municipale....
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